LA  CLEPSYDRE .                                                  

 

 

 

 

 

 

 

Définition :

La clepsydre est une horloge antique, d’origine égyptienne, mesurant le temps par un écoulement d’eau dans un récipient graduée (dico page 225 Larousse)

 

Documentation :

Clepsydre, (du grec klepsudra : « qui vole l’eau », horloge à eau antique mesurant le temps par un écoulement d’eau dans une cuve , à travers un orifice étroit ménagé à sa base. Les heures étaient indiquées par une échelle horaire à l’intérieur de la cuve. Certaines horloge à eau mesuraient l’heure en fonction du niveau d’un flotteur. D’autres, précurseurs de l’horloge moderne, étaient munies d’un rouage relié à un flotteur. Lorsque le niveau du flotteur changeait, le rouage tournait pour indiquer l’heure sur un cadran. On pense que cet instrument est d’origine égyptienne, mais il était également utilisé dans la Grèce antique ainsi qu’à Rome . Dans l’antiquité, à Athènes , la clepsydre permettait de régler le temps de parole des orateurs .   

 

La clepsydre est une horloge à eau connue aussi bien des Egyptiens que des Amérindiens ou que des Grecs. Un vase percé d'un trou laisse couler de l'eau. Des graduations situées à l'intérieur permettent de mesurer des intervalles de temps.
Cette clepsydre a une forme évasée, plus large en haut, car le débit de l'eau est plus grand quand la dénivellation est plus grande. Les graduations sont ici à peu près équidistantes.
Si le cadran solaire donne l'heure pendant le jour, la clepsydre fait la même chose la nuit, et elle mesure en plus des durées plus brèves avec une bonne précision

 

 

 

 

L’ HORLOGE A EAU DE GALILEE
 

 

 

 

 

 


Lorsque Galilée (1564-1642) fit ses expériences fondamentales sur le mouvement des corps ,il n’existait pas d’horloges électroniques ou atomique, et les horloge mécanique étaient très grossières et imprécises. Le grand physicien de Pise imagina donc un dispositif tout à fait original. Pour mesurer le temps que mettrait une boule de boit à descendre le long d’un plan incliné, il utilisa un seau d’eau placé en hauteur, dont le fond était muni d’un fin tuyau. En recueillant l’eau qui s’écoulait pendant le trajet de la boule et en la pesant, il obtenu un poids proportionnel à la durée de l’expérimentation. L’opération était si précise qu’elle pouvait être répétée de nombreuses fois sans erreur, à condition d’être exécutée de façon très minutieuse. Comme on le voit, une simple « horloge à eau » peut permettre d’effectuer des mesures suffisamment exacte, si l’expérimentateur fait preuve de soin et de vigilance. Avant Galilée, il existait déjà des horloges à eau, dites clepsydres, connues en Egypte depuis le XV° siècle avant J. C. Leur fonctionnement reposait, comme celui du sablier , sur la vitesse d’écoulement d’un liquide.

L a difficulté de la mise au point était double ; il fallait tout d’abord assurer un écoulement contant malgré la variation du niveaux d’eau à l’intérieur de la cuve (le vase) ; c’est la raison pour laquelle celle-ci avait une forme évasé vers le haut . La seconde difficulté provenait de la division du jour « civil » en 24 heures inégales entre elle :12 heures du jour entre le lever et le coucher du soleil et 12 heures de la nuit allant du coucher du soleil .

 

Exercice :  Si le volume du cylindre est de 750 cm3 et que celui-ci perd chaque 14 minutes 10 cL ;en combien de temps le vase sera-t-il vide ?

 

Réponse :

 

IDD : deuxième période                              NOM :GAVOIS   Prénom : Margaux

                                                                                   DUPUY                     Audrey